Je viens de me rendre compte que ma fête de la musique s'est étendue de samedi après midi à lundi midi, enfin au moins trente six heures ivre, dont deux de sommeil, mais absolument aucune nourriture. Violent ? Oui. Le pire étant probablement que je n'ai aucune gueule de bois. Alcoolisme, me voilà.
Limite, je vous parle musique tout de suite, comme ça je pourrai raconter des choses inintéressantes après sans culpabiliser. Chien Stupide, donc : de 17h à 2h, W.A.W, Los Martinez, Les Polluxes, les Mantis & les Weakends, deux sets chacun. W.A.W = pas vraiment écouté, me souviens juste de leur orgue tout simplement démentiel. Los Martinez = groupe parallèle d'Alex & Emile Pollux : première fois que je les voyais, et mis à part les capacités vocales d'Alex parfois assez discutables, je dois dire que c'était sympathique. Les Polluxes = septième et huitième fois que je les voyais, quand même, mais je dois dire que j'apprécie de plus en plus, ça ferait même presque du bien à mes oreilles, enfin surtout quand elles baignent dans l'alcool, donc je ne sais pas si cet avis tient vraiment la route. Mantis = je n'avais pas accroché sur MySpace, mais je dois dire quand dans la vraie vie c'était franchement entrainant, mais une fois de plus, je vous avouerai que le look Jack Sparrow de Santiago et la chemise trop ouverte sur un torse trop imberbe d'Emilien on peut être eu une certaine influence sur mon jugement. Il faudrait que je refasse une fête de la musique sans alcool et afters douteux pour être totalement objective, je crois. Quoiqu'il en soit, un charisme certain chez les deux parisiens. Weakends = je dansais, alors je peux pas vous dire. Il me faisaient penser aux Black Lips, il me semble. Ce qui veut certainement dire qu'ils étaient bons.
Je retrouve Maud à 16h pour que l'on aille boire un muscadet au Zinc, pus Pany aux Galeries Lafayette pour passer acheter...(allez y, devinez)...une bouteille de blanc, puis Chien Stup' ou l'on retrouve Salomé et on commence à sérieusement boire. Les groupes s'enchainent un peu moins vite que les bières, et à 18h je suis déja vraiment ivre. Pas grand chose jusqu'à deux heures, mis à part, peut être, un pari fait avec moi même (que j'ai gagné) concernant plus le musicien que la musique, mais sur lequel je ne m'étendrai pas. Quoique ça ne m'aurait pas déplu, à la réflexion. Enfin bref. Les gens passent au Chien, rient de mes yeux brillants, pus s'en vont, et je crois qu'il n'y a plus rien jusqu'à la fin des concerts. Toujous ivre, toujours avec Salomé, et l'on vogue entre le Gimmick et d'autres endroits susceptibles de nous délivrer de l'alcool, guidés par des Polluxes & Weakends, tandis que les Mantis errent en recherche de substances illicites. On échoue chez Alex, et là ça devient vraiment n'importe quoi. Je quitte le salon vers cinq heures, pour une raison non explicable ici, puis reviens et découvre des Mantis affalés in da living room. Emilien s'est endormi sur le canapé, ce qui entraine -forcément- une série de photos assez distrayante. Tout le monde part se coucher à huit heures et demi, et même si le sommeil ne m'appelle pas, je suis le mouvement. Emilien ayant bien plus dormi que nous autres, il se réveille à dix heures, me sortant par la même occasion des bras de Morphée (j'ai le sommeil très léger), et une autre série de photos sommeil s'impose. Les autres se réveillent peu après, et l'on part à Talensac acheter des crevettes - coutume oblige. Je continuerai bien, mais j'en aurai encore pour un certain temps, donc de dimanche midi à lundi midi, il y a : du Chien Stupide (encore et toujours), des discussions vraiment psychédéliques dans le fumoir d'un bar gay, un autre after chez Alex, un autre pari gagné, un vol de pendentif nez (Emilien, je t'avais dit que j'y arriverai), et un train très probablement raté par les Mantis ("EmilienLevesToiToutDeSuiteOnEstEnRetardMonReveilAPasSonneFAUTBOUGER"), et une collection de courbatures diverses et variées.
Et photos = Ici
23.6.08
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2 commentaires:
...mmmh tu oublis des détails de cette fête de la musique, dis moi! Pense à un tueur mexicain... ça ne te rapelle rien?...
Heureusement, le "NEZ" à tout rattraper de cette erreure de jeunesse.
Contente de ce moment passé avec toi samedi (comment se retrouver dans des lieux où l'on aime personne, mais rester op-ti-mis-tes, n'est ce pas?)
La danse du slip, moqueries virulentes, tournante de bouteille dans un garage. Ouh.
Des bisous, no.
ps: pardon c'était pas samedi mais mercredi... mondieu l'alcool non stop me fait perdre la tête.
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